Dans une époque de transformation des questions sociales et de complexification des interactions entre les groupes, les individus et les territoires, nous mobilisons les sciences sociales afin de décrire, comprendre et restituer les faits sociaux.
A l’ère de l’éclectisme méthodologique, nous développons de nouvelles approches, conceptuelles et pratiques de la société. La réflexivité et la rigueur des sciences humaines et sociales, les méthodes agiles, le design social, sont autant de capacités mobilisées dans nos études. Nous nous adaptons à des espaces-temps contraints et restreints, à des cadres d’analyses dynamiques et ouverts, et des territoires divers et complexes.
Comment travaillons-nous ?
Nous produisons des études sociales inédites et directement mobilisables par nos commanditaires, notamment en allant chercher la parole des habitant·es qui sont en retrait des sphères de l'expression citoyenne et de la participation politique. La combinaison des approches pragmatiques et inclusives est souvent la meilleure garantie de la réussite d'un projet.• Quel que soit l’objet du projet, nous choisissons d’adopter des démarches de co-construction : nous partons directement des premier·es concerné·es pour élaborer notre étude, avec une attention particulière portée aux publics fragiles.
• Nous incluons généralement dans nos projets une restitution aux habitant·es et usager·es. Cela nous permet d’une part de leur restituer, symboliquement, le temps qu’ils nous ont accordé, d’autre part de collecter leurs réactions sur les résultats, ce qui nous permet de les affiner en retour.
• Nous utilisons des représentations visuelles et graphiques afin de faciliter la compréhension de la complexité des phénomènes sociaux présentés, et de permettre leur appropriation par le plus grand nombre de personnes possible.
L’interdisciplinarité, héritée de nos formations et parcours pluridisciplinaires (en socio-anthropologie, urbanisme, mais aussi histoire, psychologie, sciences de l’environnement…) est une autre caractéristique de notre travail, requise par les thématiques sur lesquelles nous travaillons puisqu’elles sont transversales. Elle garantit notre capacité à dialoguer, ce qui est indispensable à la démarche de co-construction avec les partenaires et acteur·ices dans laquelle nous nous inscrivons.